Au milieu des années ’60, après avoir rencontré le frère Jérôme,
maître en enseignement des arts plastiques, alors que je ne
connaissais rien en arts visuels, je me suis mis à faire des encres.
C’est grâce au frère Jérôme à qui je les montrais et qui pointait du
doigt les segments qui lui semblaient cohérents que j’ai petit à petit
compris la différence entre l’ombre et la lumière, entre le contrôle
rationnel et la liberté créatrice. Créer un mystère, voilà l’intention.
Raôul Duguay